les Additifs Alimentaires
Les additifs sont des substances qui sont ajoutées aux aliments, en de très petite quantité, dans le but d'améliorer leur conservation, de réduire les phénomènes d'oxydation, de colorer agréablement les aliments, ou encore de renforcer leur goût. Composés de molécules organiques variées, volatiles et de faible densité moléculaire, les arômes n’apportent aucune contribution nutritive à l’aliment. Il existe environ 150 substances autorisées, mais quel est le danger ?
La variété des additifs alimentaires
Il existe différentes catégories d'additifs, les 6 principales sont :
Les agents de texture : gélifiants, émulsifiants, stabilisants, épaississants, pour les rendre les aliments plus attractif visuellement. Ou encore, les antiagglomérants, substances ajoutées aux denrées alimentaires hygroscopiques, généralement en poudre, pour empêcher l'agglutination des particules et maintenir la fluidité de la préparation.
Les colorants, qui donnent aux aliments leurs couleurs, soit pour la renforcer ou pour la modifier.
Les édulcorants, qui donnent une saveur sucrée. Ce sont des composés chimiques n'appartenant pas au groupe des hydrates de carbone et qui présentent un pouvoir édulcorant notablement supérieur à celui du saccharose, mais qui, par rapport à leur pouvoir édulcorant, n'ont aucune valeur nutritive ou qu'une valeur nutritive très faible
Les conservateurs qui permettent une meilleure conservation en empêchant le développement de microorganismes indésirables (par exemple : moisissures ou bactéries responsables de toxi-infections alimentaires).
Les antioxydants, ou anti oxygènes sont des substances qui agissent contre l'altération des denrées alimentaires due à l'oxygène de l'air, à la lumière, aux traces de métaux ou à certaines enzymes. L'oxydation provoque entre autres le rancissement des matières grasses ou le brunissement des fruits et légumes coupés.
Les arômes
Cinq familles d'arômes se partagent le marché et se cachent dans notre alimentation.
Les arômes naturels.
D'origine animale ou végétale, ils doivent n'avoir subi que les transformations nécessaires à leur extraction. Mais attention: «arôme naturel» signifie que l’arôme provient d’un produit naturel. Mais cela ne veut pas forcément dire que l’arôme naturel du yaourt à la fraise est effectivement extrait des fraises. Car l’arôme de fraise peut être fabriqué à partir d’autres substances végétales ou animales et même à partir de micro-organismes comme des moisissures, des levures ou des bactéries. Cet arôme est d’ailleurs, en général obtenu après le mélange de copeaux d’un bois australien, d’eau, d’alcool et de quelques ingrédients secrets. Avec une recette légèrement modifiée de cette pâte, il est également possible d’obtenir de l’arôme framboise, cacao, chocolat ou vanille. L’origine est bien naturelle puisqu’il s'agit de bois… L’arôme de fraise est vraiment produit à partir de fraises lorsque l’étiquette porte la mention «arôme naturel de fraise». Quant à l’arôme naturel goût de coco, il provient, en général, d’un champignon.
Les arômes identiques naturels.
Ils sont obtenus par synthèse et reproduisent exactement la composition chimique de l'arôme naturel. C'est une copie parfaite de la molécule. Ainsi la vanilline est la copie exacte du principal arôme de la vanille.
Les arômes artificiels.
Créés par les aromaticiens, ce sont des arômes qui n'existent pas dans la nature et qui ont un arôme plus fort que l'arôme naturel. L'éthylvanilline est de deux à quatre fois plus puissant que la vanilline.
Les arômes de transformation.
Obtenus par la réaction de Maillart, ils reproduisent les arômes qui se forment naturellement lors de la cuisson des aliments. Tous les produits industriels (soupes, sauces, plats cuisinés, charcuterie, aides culinaires, etc.) les utilisent à profusion.
Les arômes de fumée.
Ils sont obtenus par la combustion de bois odorants et sont utilisés dans nombre de charcuteries, de biscuit salés, de sauces, etc.
En soi, et selon les quantités, les additifs ne sont pas toxiques. En revanche, ils encrassent le corps, ralentissent les fonctions d’éliminations de l’organisme et limitent l’absorption des nutriments, de plus, on ne connaît pas bien l’effet cocktail des mélanges de toutes ces molécules qui se combinent dans notre alimentation moderne. Il existe des doses maximum autorisées, les DJA, doses journalières admissibles, pour tel ou tel additifs mais aucune norme sur les mélanges. Par conséquent, lorsqu’il n’est pas possible d’utiliser des produits bruts, il vaut mieux éviter les produits qui contiennent plus de 3 additifs.
L’étiquetage des additifs alimentaires
Les additifs doivent obligatoirement être mentionnés sur l'étiquette des denrées alimentaires : Le code utilisé est fixé au niveau européen. Il se compose de la lettre "E" suivie d'un numéro permettant d'identifier facilement la catégorie.
Par exemple :
Nous consommons constamment des produits dont le goût n’existe pas réellement. Beaucoup de sauces, de desserts et de plats pré-cuisinés n’auraient strictement aucun goût sans ajout de substances aromatiques. Les industriels de l’alimentation emploient aujourd’hui des milliers d’additifs alimentaires différents pour aromatiser leurs produits et les rendre plus appétant. De nombreux scientifiques admettent que leurs pratiques sont une des raisons du développement exponentiel des allergies et autre troubles de notre santé.
Additifs alimentaires : ils sont partout !
E420 - Sorbitol, E452 - Polyphosphates,
E621 - Glutamate monosodique,
E160c - Extrait de paprika
E330 - Acide citrique, E296 - Acide malique, E333 - Citrates de calcium, E100 - Curcumine, E131 - Bleu patenté V, E153 - Charbon végétal médicinal, E160 - Caroténoïdes, E163 - Anthocyanes, E903 - Cire de carnauba
E322 - Lécithines,
E501 - Carbonates de potassium,
E503 - Carbonates d'ammonium,
E500 - Carbonates de sodium
E150a - Caramels, E440a - Pectine, E202 -
Sorbate de potassium, E322 - Lécithines,
E150c - Caramel ammoniacal,
E170 - Carbonate de calcium
Mes « chouchous », ce sont ceux que l’on retrouve le plus dans les produits de tout les jours
E120: Cochenille, acide carminique. Colorant rouge.
Risques: hyperactivité, asthme, eczéma, insomnies, pourrait être cancérigène et mutagène.
Fabriqué à partir d'insectes écrasés ou chimiquement. On le trouve notamment dans les boissons sucrées, les yaourts, les chewing-gums... A PROSCRIRE
E102: Tartrazine. Colorant synthétique jaune.
Risques: hyperactivité, asthme, urticaire, rhinites, troubles de la vue, insomnies, pourrait être cancérigène avec effets mutagènes et tératogènes, résistance microbienne aux antibiotiques.
Est utilisé dans de nombreux aliments (boissons, merguez, charcuteries, bonbons, gâteaux, médicaments...)
E173: Aluminium. Aluminium en poudre utilisé comme colorant gris.
Risques: neurotoxique (Alzheimer), risques rénaux.
Utilisé comme colorant de surface dans certains produits, gâteaux, bonbons. Interdit en Australie.
E210: Acide benzoïque. Conservateur chimique bien plus toxique que les sources naturelles contenues dans certains végétaux. Additif dérivé du benzène.
Risques: hyperactivité, asthme, irritations des yeux, urticaire, troubles digestifs, problème de croissance, insomnies, troubles du comportement, de plus le benzène affecte le sang et a des liens avec la leucémie chez l'animal comme chez l'homme, serait entre "autre" cancérigène... serait "seulement" ! Des recherches ont été demandées pour savoir si cet additif a des effets secondaires néfastes sur les organes reproducteurs et les embryons !!!!!!!! Présent dans les boissons sucrées et confitures
E249: Nitrite de potassium. Conservateur chimique.
Risques: essoufflements, vertiges, maux de tête, chez les nourrissons les nitrites peuvent provoquer la mort par asphyxie car ils empêchent les globules rouges de transporter l'oxygène, cancérigène.
Très répandu dans les charcuteries, les salaisons, le foie gras et le bacon traité, MÊME DANS LES PRODUITS DE CE GROUPE CERTIFIES BIOLOGIQUES!!!!!!!! "Super" !
E250: Nitrite de sodium. Conservateur chimique/minéral, serait combiné avec du chlorure e sodium, se tranformant donc dans l'estomac en nitrosamine.
Risques: hyperactivité, asthme, insomnies, nausées, vertiges, baisse de tension, cancer. Utilisé seulement pour viandes et charcuteries
.AB donc bio ! NON VOUS NE RÊVEZ PAS !!!!! Bon appétit !
E385: Ethylène-diamine-tétra-acétate de calcium disodium ou EDTA. Antioxydant et séquestrant de synthèse.
Risques: mauvaise absorption des minéraux, vomissements, diarrhées, crampes abdominales ou musculaires, troubles de la coagulation du sang, passage de sang dans les urines, a causé des dommages du métabolisme cellulaire endommageant les chromosomes sur des animaux de laboratoire.
A la propriété d'enrober les molécules métalliques pour empêcher leur réactivité. Substances dangereuse pour les jeunes enfants.
Utilisé largement dans les conserves, les aliments surgelés, les sauces .... En médecine cet additif est utilisé pour traiter les empoissonnements aux métaux lourds et il est utilisé dans certaines poudres à laver.
Cas particulier ! Le Glutamate et l’Aspartame
L’aspartame (E951) et le Glutamate Mono Sodique GMS (E621) agissent comme neurotransmetteurs au niveau du cerveau en facilitant la transmission de l’information entre les neurones. En fait, quand notre sang chargé en glutamate vient irriguer notre cerveau, il atteint nos neurones. A ce moment-là, ceux-ci laissent soudain entrer massivement calcium, sodium, eau, bien au-delà de nos possibilités physiologiques, provoquant une brutale dépolarisation qui les tue. En mourant, les neurones relâchent massivement le glutamate qu’ils contiennent. Celui-ci va alors exciter d’autres neurones, qui meurent à leur tour, et ainsi de suite. Ce processus spécial de mort cellulaire est connu sous le nom “d’excitotoxicité“ ; c’est à dire, que les neurones sont excitées jusqu’à leur destruction. Il faut savoir que le cerveau des enfants n’a pas de protection contre le glutamate et son développement intellectuel peut être mis en danger par les influx nerveux incessants que ce produit provoque de façon désordonnée.
Il faut savoir que ces substances sont des acides aminés, ces acides aminés sont des neurotransmetteurs naturels du cerveau. En fait, ce sont les neurotransmetteurs les plus souvent utilisés par le cerveau. Les défenseurs du glutamate de sodium et de l’aspartame, demandent souvent comment une substance qui est naturellement utilisée par le cerveau pourrait être nocive. C’est parce que le glutamate et l’aspartame, en tant que neurotransmetteur, n’existe dans le liquide extracellulaire qu’à des taux très faibles – pas plus de 8 à 12 (M (micromoles/litre).
Mais au fait, c’est quoi le Glutamate ?
Cet exhausteur de goût est très dangereux et peut se cacher sous différents noms. Il a pour but d'exciter les papilles gustatives et de donner envie de manger encore plus de produits en contenant.
Il était autrefois principalement fabriqué à partir de gluten de blé, mais désormais, il est principalement fabriqué à partir de la fermentation bactérienne, Actuellement, la majorité de la production mondiale de GMS se fait par cette fermentation avec un processus similaire à celui du vin, du vinaigre, des yaourts et même du chocolat. Jusque là, rien de particulier. Du sodium est ajouté plus tard lors de l’étape de neutralisation. Pendant la fermentation, des bactéries sélectionnées, les bactéries corynéformes (Corynebacterium diphtéroïde (appellation ancienne), est responsable d'infections opportunistes (microorganismes normalement présents chez un individu et qui deviennent pathogènes lors d'un affaiblissement de ses défenses). Le nombre d'infections à bactérie corynéforme n'a cessé d'augmenter au cours de deux dernières décennies, elles sont souvent résistantes aux antibiotiques) ( avons nous réellement besoin de ce genre de chose dans nos céréales du petit déjeuner ????) sont mises en culture avec de l’ammoniac ( ha là, ça devient bizarre, on ingère en plus de l’ammoniac) et des glucides issus de betteraves sucrières, cannes à sucre, tapioca ou mélasse ( et oui, il faut nourrir ces petites bactéries), elles excrètent des acides aminés dans le bouillon de culture dans lequel le L-glutamate est isolé. Après filtration, concentration, acidification et cristallisation, le produit final est du glutamate pur, du sodium et de l’eau. En général, le GMS est stable dans les conditions de transformation des aliments habituelles. Lorsqu’on le cuisine, il ne se décompose pas (non uniquement dans la bouche grâce a la salive, comme les M&m’s), mais un brunissement ou des réactions de Maillard (lors de cette Réaction de Maillard, les aliments prennent une couleur brune pouvant aller jusqu’au noircissement. Ce changement de couleur s’accompagne d’une production d’acrylamide, molécule reconnue par l’OMS comme présentant un risque pour la santé humaine. Il peut potentiellement être cancérigène et peut provoquer des lésions aux tissus mais également être à l’origine d’une baisse de la fertilité) se produiront en présence de sucres à température élevée.
Sous quels noms se cache le GMS ?
Le GMS est une sorte de "magicien", il adore se cacher et changer de nom, mais nous pouvons le retrouver, voici la liste des différents noms qui peuvent cacher du GMS : MSG, glutamate mono sodique, protéine végétale hydrolysée, monosodium glutamate, acide glutamique (E620), Glutamate monopotassique (E622), Diglutamate de calcium (E623), Glutamate d’ammonium (E624), Diglutamate de magnésium (E625), ou, plus subtile, donc plus difficile à identifier, caséinate de calcium ou de sodium, maltodextrine, extrait solide de lait, farine de soja, extrait de malt, levure autolysée, gélatine alimentaire, accent, Protéines ou huiles végétales hydrogénées, Extrait de levure (souvent utilisé dans les produits "Bio" tels que certains bouillons en cube et pâtés végétariens... , Levure rajoutée,
!! Alors a vos étiquettes !!
Quelques effets secondaires.
Lors de sa commercialisation on ignorait que le GMS pouvait être aussi toxique á long terme .... Et tout particulièrement pour le système nerveux car utilisé en trop fortes doses. Certains vont même jusqu'á l'appeler : " La bombe à retardement !" car le GMS agit de manière perverse et plus ou moins rapide...
Certaines personnes peuvent être allergiques au GMS et pourraient développer un œdème de Quincke et se retrouver aux urgences toute bouffies mais heureusement ou malheureusement (si les manifestations étaient moins insidieuses, peut être, que l’utilisation du GMS serait interdite), la majorité des personnes peuvent être prise de :
Tableau synthétique des effets possibles du glutamate
Troubles cardiaques Arythmie Troubles digestifs Gastrite Troubles musculaires Douleurs musculaires |
Troubles Neurologiques Dépression Troubles de la vue Vision trouble |
Troubles respiratoires Asthme Troubles uro-génitaux Douleurs de la vessie Problèmes cutanés Urticaire externe ou interne Aphtes |
De plus le GMS (Tout comme l'Aspartame) est très dangereux pour les femmes enceintes car il passe par le placenta jusqu'au cerveau du bébé ce qui peut provoquer des retards mentaux souvent irréversibles et pas souvent évidents á la naissance.
Cet additif a largement favorisé l'épidémie d'obésité que nous connaissons de nos jours, il a aussi tendance à tripler le taux d'insuline fabriquée par le pancréas, pouvant ainsi provoquer des cas de diabète de type 2. Cet additif peut rendre aussi dépendant que la nicotine ou que certaines drogues dures !
Dans quels produits peut-on trouver du GMS ?
DANS PRESQUE TOUT !!
Mais voici les produits qui en contiennent le plus souvent
Les chips, |
Et l'Aspartame alors !
Pour la plupart des gens, c’est tout simplement un édulcorant de synthèse pour remplacer le sucre, que des millions de femmes en surpoids et de diabétiques utilisent dans le monde entier sous forme de poudre ou de sucrettes. L’aspartame est aussi présent dans plus de 5 000 produits alimentaires ou pharmaceutiques connu sous le code E951.
Malgré ce qu'en disent certaines firmes et malgré le fait que de nombreux diabétologues, nutritionnistes, dentistes, généralistes, gynécologues..., conseillent à leurs patients d'en consommer en tant qu'édulcorant (en poudre, en sucrettes, en boissons "light", en chewing-gum, ...) ceci pour perdre du poids ou pour éviter le sucre, cet additif n'aurait JAMAIS DÛ EXISTER.
Comment fonctionne l’aspartame ?
Je ne pense pas vous apprendre grand-chose en précisant tout d’abord que ces édulcorants de synthèse n’ont aucune valeur nutritionnelle ou énergétique : ce sont des molécules chimiques ayant la particularité d’avoir une puissante action sucrante artificielle.
Sachez que dès que cette saveur sucrée est perçue par les récepteurs qui tapissent notre tube digestif, le cerveau enregistre l’information et prépare les cellules à recevoir ce carburant qui, dans le cas de l’aspartame, n’arrive jamais. Or, l’organisme avait déclenché une production d’insuline pour réguler cet excès fictif de sucre.
Il se retrouve donc à réguler une glycémie qui n’a, en réalité, jamais augmenté. Or l’organisme ne supportant pas un taux de sucre insuffisant dans le sang va mettre en place des systèmes de défense pour avertir qu’il est en danger, qu’il a un besoin urgent de sucre et qu’il sera bientôt en panne d’énergie. Ces hypoglycémies réactionnelles engendrent de furieuses pulsions sucrées. Notez aussi, que l’insuline favorise, de surcroît, le stockage des graisses. Par ailleurs, l’aspartame qui procure une saveur sucrée équivalente sans apport calorique, n’apprend pas au sujet à diminuer sa «dépendance » au sucre, au contraire, et il a été prouvé que cela favorisait l’obésité.
L’aspartame est composé de phénylalanine (50 %), d’acide aspartique (40 %) et d’ester de méthyle (10 %) qui se transforme rapidement en alcool méthylique après ingestion. Suite à leur dégradation métabolique, ces molécules se transforment en plusieurs sous-produits neurotoxiques, dont le formaldéhyde (ou méthanal, ou aldéhyde formique (classé dans le même groupe que les drogues comme le cyanure et l'arsenic) ) qui entraînent la mort des cellules synaptiques (terminaisons qui transmettent l’influx nerveux dans le cerveau) par sur-stimulation, un peu comme le fait la cocaïne, induisent une grave dépendance avec phénomène de sevrage intense pour les grands consommateurs d’aspartame qui tentent d’arrêter d’en consommer et est responsables de tumeurs au cerveau.
Il peut provoquer jusqu'à plus de 90 effets secondaires.
IL EST DONC VITAL DE SAVOIR LE DÉTECTER ET DE L'EVITER
Tableau synthétique des effets possibles de l’aspartame
Troubles immunitaires Perte de cheveux, Troubles digestifs et endocrino Diarrhées Troubles ostéo-articulaire et musculaires Douleurs musculaires |
Troubles Neurologiques Insomnies, |
Des millions de "victimes de l'Aspartame" se font soigner pour des maladies plus ou moins graves pendant parfois des années SANS SAVOIR que leur consommation de produits à l'Aspartame aggrave la source de leurs problèmes de santé.
Donc, arrêter d'en consommer (au moins pendant 60 jours). Parallèlement préparez et cuisinez vous-même vos repas (afin d'éviter aussi le E621), mangez sainement (bio++) et buvez de l'eau plate très régulièrement tout au long de la journée par petites gorgées. Vous remarquerez progressivement une amélioration de votre état général. Il n'y a aucune raison de consommer de l'Aspartame.
Dans quels produits peut-on trouver de l’aspartame ?
- Les édulcorants de table en poudre, en comprimés ou en dosettes
- Les confiseries (chewing-gums, bonbons, sucettes, sprays liquides)
- Les boissons (sodas, limonades, colas , boissons aux fruits ou au thé)
- Les thés en sachets tout prêts
- Les produits laitiers (yaourts, yaourts à boire, crèmes desserts)
- Les produits de régime (substituts de repas, produits "light" ou "sans sucres", "allégés" ou "O%", protéines en poudre, préparations pour desserts)
- Les médicaments (environ 300 à ce jour)
- Les suppléments en vitamines et en minéraux.
- Les chocolats en tablette
- Les chips
- Les cosmétiques
Vous comprenez bien l'importance d'avoir une alimentation la plus saine possible, la plus naturelle, la plus BIO. Ce que nous mangeons et buvons chaque jour à un impact déterminant sur notre état de santé.
A vous de choisir
Mlle ORTIGUE Vanessa
www.vanaroms.fr